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Par Dromantique le 9 Mai 2016 à 20:59
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Le myosotis, et puis la rose,
Ce sont des fleurs qui dis'nt quèqu' chose !
Mais pour aimer les coqu'licots
Et n'aimer qu'ça... faut être idiot !Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.Comm' un p'tit coqu'licot, mon âme !
Un tout p'tit coqu'licot.
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Par Dromantique le 1 Janvier 2016 à 22:37
L’autre jour, j’ai croisé 2 anges sur ma route.
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Il faut dire que l’asphalte égrainait les kilomètres à n’en plus finir et cela faisait longtemps déjà que la fatigue me pesait sur les épaules. Pour repousser la torpeur qui m’étreignait, je me mis à bailler à m’en décrocher la mâchoire, mes yeux se fermèrent et me piquèrent, une larme perla entre mes cils.
Je rouvris les yeux, l’asphalte égrainait les kilomètres à n’en plus finir, mes épaules étaient légères. Un sourire se dessina sur mes lèvres, j'avais eu ma dose de bonheur... et tout allait bien.
Clin d'oeil à Anne HENGY, Conteuse
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Par Dromantique le 22 Novembre 2015 à 18:36
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http://www.p2c-racing.fr/home.htm
15 novembre 2015, ce jour là, participaient :
Cédric... Nathalie
Olivier...Bernard... et Ramon
Sous la houlette des moniteurs :
Sylvain et Romain
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Par Dromantique le 30 Octobre 2015 à 20:11
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Par Dromantique le 17 Octobre 2015 à 07:53
à Michèle PAYRI,
que cet article soit l'expression de mes remerciements pour votre accueil, votre savoir, votre amour pour vos petits compagnons, votre partage.
à Clara,
mais qu'est-ce que tu as été bien inspirée de nous faire découvrir cette merveilleuse bergerie !
Sans oublier un clin d'oeil à
Christian, Alexandre, Anne Laure, Claude & Michèle, Françoise, Laurence B, Laurence Dun, Luc, MariO & Guy, Tohine
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http://labergeredalpagas.com
« Être la bergère de mes alpagas, à parcourir la montagne au milieu des senteurs de thym et de lavande… sources d’inspiration.
Et devenir patiemment l’artisan de leur belles toisons, métamorphosées minutieusement en de nouvelles créations au sein de mon atelier.
Tel est mon choix de vie, à Trépalon que je vous propose de venir découvrir. »
Michèle PAYRI
L’élevage des alpagas de la ferme de Trépalon est situé à 1000m en zone nature 2000.
Il est conduit le plus naturellement possible pour le bien être du troupeau et dans l’étique d’un éco-pastoralisme.
Il contribue à la préservation et au maintien de nos magnifiques paysages drômois.
Les alpagas bénéficient de grands espaces, transformés au fur et à mesure en pâturages semi-boisés.
Ils apprécient fortement la grande diversité trouvée de la flore de montagne des pré-alpes du sud dont ils se nourrissent et sans l’endommager.
Ils reçoivent aussi quotidiennement un fourrage sec, de forte appétence, reconnu pour ses grandes qualités nutritive et digestive qu’est le sainfoin produit localement en bio.
Pastoralisme & Écologie
Elevés pour leur laine, les alpagas sont tondus deux fois par an : après les dernières gelées et avant les premières chaleurs.
Production naturelle d’une fibre précieuse, considérée par les Incas comme la fibre des dieux.
La laine est récoltée en toison pour ensuite être triée et nettoyée le plus minutieusement possible et permettre des créations d’une extrême douceur qui sont réalisées à la ferme de TREPALON
Les créations textiles de la bergère d’alpagas sont toutes des pièces uniques d’une extrême douceur, réalisées artisanalement à la Ferme de Trépalon.
Elles sont conçues et réalisées avec la laine des alpagas qui sont élevés dans le plus grand respect de l’animal, de l’homme et de l’environnement et sans aucun produit chimique.
Patience & Nature
Tout le cheminement qui nécessite patience et minutie du travail des toisons jusqu’à la réalisation des créations est effectué manuellement dans l’atelier situé au dessus de la bergerie des alpagas.
La diversité des belles couleurs naturelles des laines des animaux travaillée avec les couleurs de la nature permet une multitude de possibilités.
La laine d’alpagas est une fibre naturelle exceptionnelle, classée parmi les plus belles.
Elle est très appréciée pour sa grande douceur et son pouvoir thermique exceptionnel permettant la réalisation de créations textiles très légères.
L’absence de suint en fait aussi une laine anallergique.
Quoi ?
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Par Dromantique le 15 Juin 2015 à 19:22
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D’un fier sommet, un matin solitaire,
Quand le soleil perçait à l’horizon
J’ai découvert la beauté de la terre
Qui s’éveillait sous un gerbier sans jonc
Les près, les monts, dans une féérie
Se panachaient et de pourpre et de roux
Ainsi j’ai vu, dans sa splendeur, l’Helvie
Au nom si doux
Qu’on aime encor chez nous.En descendant du géant belvédère
J’ai visité d’Orgnac à Ventadour
Et de Crussol, aux lacs, aux vieux cratères
Le fier pays où j’avais vu le jour.
Voilà pourquoi mon âme s’extasie
Dans l’ambroisie des sapins et de houx
Au nom si doux
Qu’on aime encor chez nous.Fidèle au sol où dorment nos ancêtres,
J’entends toujours l’harmonieuse voix
Des fleurs, des bois et des muses champêtres
Tout imprégné d’un parfum d’autrefois
Comme le nom d’une mère chérie
Je garde au cœur avec un soin jaloux
Celle qui fut notre aïeule ; l’Helvie
Au nom si doux
Qu’on aime encor chez nous.Octave ROUYET, poète ardéchois
Poème de Octave ROUYET (Né à Meyres, décédé au Cheylard)
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Par Dromantique le 28 Mai 2015 à 21:33
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Il se fait tour à tour douceur ou bien violence
Eau froide des glaciers et source de jouvence.Comme est elle est belle cette eau qui dévale
les pentes Saute de-ci , delà , par dessus les rochers
Bouillonnante d’écume ou bien cascade hurlanteDont l’écho se disperse à travers la vallée.
Comme il est beau ce ruisseau qui chante doucement
Juste un petit murmure à peine un gazouillis
Il recevra bientôt les eaux tourbillonnantDu torrent qui descend pour mourir en son lit.
Que sont belles ces eaux caressantes ou drues
Elles m’attirent et m’envoûtent par leur limpidité
Leurs chants sont si jolis qu’ils savent m’apaiserQuand mon âme est au noir et que je suis perdue.
Si je sens que mon cœur joue une triste symphonie
Je prends de la hauteur et je marche longtempsJe vais laver mes pleurs aux eaux de mes torrents
Et ma peine s’envole , je renais à la vie.
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Par Dromantique le 24 Mai 2015 à 12:12
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Pearl SYDENSTRICHER BUCKFemme de lettre américaineNée à Hillsboro (Virginie Occidentale) le 26/06/1892 Décédée le 06/03/1973 à Danby (Vermont)C'était le début du printemps dans la cité de K'Aifeng. Printemps tardif pour cette province de Honan, au nord de la Chine. Derrière les hautes murailles, à l'intérieur des cours, les pêchers fleurissaient plus tôt que ceux des fermes éparpillées sur les plaines unies qui s'étendent autour des fossés de la ville. Mais, malgré cet abri, les pêchers ne montraient encore à la pâque que leurs boutons rosés.
Dans les cours de la maison d'Ezra ben Israël, des branches avaient été coupées plusieurs jours à l'avance, ce qui permettait aux boutons de fleurir pour la fête. Chaque printemps, Pivoine, la petite esclave chinoise, tapissait de ces rameaux fleuris les murs du grand hall. Et, chaque année, Ezra, son maître,
et Mme Ezra, sa maîtresse, ne manquaient pas de prêter attention à ce qu'elle avait fait. Ce jour-là, songeant au printemps si froid et aux vents poussiéreux du nord qui avaient soufflé sur la ville, ils félicitèrent tout spécialement la jeune fille.
« Voyez quel miracle a accompli notre petite Pivoine », dit Ezra, en montrant les fleurs d'un geste de sa main dodue.
Mme Ezra s'arrêta pour admirer ; son expression tendue s'adoucit.
« Très joli, mon enfant », fit-elle.
Pivoine gardait le silence, comme il se doit, ses petites mains jointes au-dessus de ses manches flottantes. Elle rencontra le regard de David et détourna le sien, mais elle répondit avec un léger frémissement des lèvres au sourire chaleureux de Leah. Le vieux rabbin restait immobile car il était complètement aveugle ; quant à son fils Aaron, Pivoine ne le regarda même pas.Ils prirent place autour de la vaste table ronde, au centre du hall, et Pivoine dirigea le service, à sa manière, silencieuse et pleine de grâce. Quatre serviteurs étaient sous ses ordres, et Wang Ma, la plus âgée des servantes, versait le thé.
Aussi loin que remontaient ses souvenirs, Pivoine avait toujours assisté à ce festin d'un soir, dans la demeure d'Ezra. C'est elle qui surveillait la disposition du couvert, et les domestiques lui obéissaient car elle connaissait la place de chaque objet comme si elle était la fille de la maison. On gardait, soigneusement rangés, toute l'année, les plats qui ne servaient qu'à ce repas donné tous les ans la veille de la pâque. Les cuillers d'argent et les baguettes, les grands chandeliers à sept branches brillaient à la lueur des lanternes suspendues aux hautes solives rouges. Sur un large plateau d'argent, Pivoine avait posé, comme chaque année, les symboles dont elle ignorait le sens : un œuf dur, des herbes amères, des pommes, des noix et du vin. Curieux symboles d'une religion étrangère !
Au milieu de l'indifférence de la ville chinoise, toute cette journée-là semblait bizarre. Et quoique familiarisée avec les rites, Pivoine s'en étonnait à chaque printemps. Tout d'abord, la recherche, dans la maison, des morceaux de pain pétri avec la levure ! Ce matin-là, Ezra, le maître, avait fouillé dans tous les coins, en riant, comme d'habitude, étourdiment. Autrefois, Mme Ezra cachait les restes de pain, mais depuis plusieurs années, elle avait confié ce soin à Pivoine, et Ezra demandait à la petite servante de compter les morceaux pour savoir quand il en aurait fini. Il tournait cela un peu en plaisanterie, assez gêné devant les domestiques. Lorsqu'ils étaient enfants, David et Pivoine riaient de tout leur cœur et se joignaient gaiement aux recherches, montrant du doigt chaque miette du pain défendu. Mais Pivoine ignorait alors qu'elle n'était qu'une esclave.
À présent, elle savait. Elle se tenait tranquille, attentive, pendant que le festin se déroulait. Elle connaissait plus ou moins chaque convive. Surtout David ! C'était à cause de lui qu'on l'avait achetée, une année de famine, lorsque le fleuve Jaune avait rompu ses digues et inondé les terres basses. Elle était si jeune alors ! Et malgré ses efforts pour retrouver le passé, elle ne se rappelait aucun visage avant celui de David. C'était son premier souvenir : le visage d'un garçon, de deux ans son aîné, toujours plus grand, plus fort qu'elle, si bien qu'instinctivement elle se tournait vers lui et se mettait sous sa protection. Autrefois, elle lui confiait ses pensées, ses chagrins et il avait été dur de rompre cette habitude. Mais elle savait que c'était nécessaire. L'intimité entre deux enfants ne doit pas continuer au-delà de l'enfance, lorsque l'un est le maître et l'autre l'esclave.
Pivoine ne se plaignait pas ; elle se sentait heureuse dans cette bonne maison juive. Ezra ben Israël, le chef de famille, était un commerçant corpulent et enjoué. Sans sa barbe touffue, se disait Pivoine, il eût ressemblé à un Chinois, car sa mère était chinoise. Personne n'y faisait jamais allusion et Mme Ezra en souffrait, mais elle se consolait en voyant que David, son fils, lui ressemblait, à elle, plus qu'à son père, et encore davantage au grand-père maternel dont il portait le nom. Chacun craignait Mme Ezra tout en lui devant quelque bienfait personnel, car sa bonté risquait à tout instant de disparaître dans ses sautes d'humeur. Elle approchait de la cinquantaine ; c'était une femme grande, forte, et belle pour celui qui ne dédaigne pas un nez busqué et un teint coloré. Sa foi rigide, ses habitudes immuables se mêlaient bizarrement à la générosité de son cœur. Chaque année, elle invitait le rabbin et ses deux enfants, Leah et Aaron, à la fête de la pâque. Aaron, pâle et dissimulé, avait dix-sept ans ; Pivoine le méprisait à cause de son visage blême et barbouillé, et de sa corruption. Elle se demandait si le rabbin ou la famille d'Ezra connaissait les méfaits de ce garçon, mais il ne lui appartenait pas de questionner les autres à ce sujet. Peut-être que les Sept Surnoms et les Huit Familles, comme on appelait les Juifs à K'Aifeng, ignoraient les agissements du fils du rabbin, et les Chinois étaient trop délicats pour le leur apprendre.
Leah ne ressemblait pas à son frère. Elle était bonne : c'était une de ces créatures exceptionnelles, nées à la fois bonnes et belles. De sa place de servante, près de la table, Pivoine la regardait avec un plaisir mêlé d'une tristesse qui ne deviendrait pourtant jamais de la jalousie. Ce soir-là dans sa robe rouge couleur de vin et avec sa ceinture d'or, Leah était parfaitement belle malgré sa haute taille. Les Chinois n'aimaient pas les femmes grandes, mais la peau laiteuse, les yeux sombres qui luisaient entre les cils compensaient ce défaut. Quant au nez, moins fort cependant que celui de Mme Ezra, il était, lui aussi, trop busqué pour le goût chinois.
Leah était plus que belle. Il y avait en elle une spiritualité, une élévation que Pivoine admirait sans comprendre. Les Chinois disaient de la jeune Juive : « Elle possède la bonté du Ciel. » Et cela signifiait que cette bonté lui était naturelle, et jaillissait d'une source intérieure. Assise à côté de son père, prompte à lui venir en aide au moindre signe, elle éclairait le festin de sa joie, bien qu'elle parlât rarement.
Peut-être avait-elle hérité cela de son père ; long et maigre, le rabbin était revêtu de sainteté comme d'une robe de lumière. Des années auparavant, il avait contracté une maladie des yeux dont souffrent beaucoup de Chinois. À ce mal il n'existait aucun remède connu, et le rabbin devint aveugle, d'autant plus rapidement qu'étant étranger il n'était pas immunisé. Sa femme, qu'il devait perdre plus tard, avait trente ans lorsqu'il la vit pour la dernière fois et ses enfants étaient encore tout petits. Il semblait n'être qu'esprit dépouillé de la chair. Peut-être l'impossibilité de voir des visages humains l'obligeait-il à ne contempler que la face de Dieu, ou n'était-ce qu'un effet de sa bonté naturelle ? Ses cheveux, qui avaient blanchi peu après sa cécité, encadraient son noble visage ; ses yeux enfoncés, au-dessus de sa barbe blanche, lui donnaient un air calme et altier.
Pivoine ne perdait aucun geste, aucun sourire de ces convives autour de la table du festin. Elle vit David regarder Leah en face de lui, puis détourner les yeux, et elle dut réprimer le choc qu'elle en ressentit. Par la taille, David était l'égal de Leah, et plus beau aux yeux de Pivoine. À dix-neuf ans, David ben Ezra approchait de la plénitude de sa jeunesse d'homme. Ses vêtements juifs, qui ne plaisaient pas à Pivoine car ils mettaient entre eux une note étrangère, étaient très seyants. En général, il portait les robes chinoises, plus confortables ; mais, ce soir-là, il avait revêtu une tunique bleu et or, et le bonnet de soie bleue des Juifs s'enfonçait sur ses courtes boucles noires. Pivoine ne pouvait s'empêcher de garder les yeux fixés sur lui ; il rencontra ce regard et sourit à la jeune servante.
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Par Dromantique le 30 Mars 2015 à 21:26
Pour la musique : Clin d'oeil à Lili... 1 nuance de Forey... hihihi !
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Amour-Toujour à la Grande Conque
Sable noir de la Grande Conque
l'étang de Luno et la colline St Martin
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Par Dromantique le 26 Février 2015 à 21:48
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Quand Bougredane vole la vedette aux autruches
Attention les Poulettes, voilà le Corsac....
Mon pote Patience, qui a traversé l'Histoire, croisé Esope et Apulée, porté le Christ sur son dos, rencontré Kant et Victor Hugo, un jour, et leur a parlé.
… Un chant ; comme un écho, tout vifEnterré, là, sous le massif…
— Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre…
— Un crapaud ! — Pourquoi cette peur,
Près de moi, ton soldat fidèle !
Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue… — HORREUR ! — Tristan CORBIEREJe suis partie laissant derrière moi (...)
un chat découvrant la tendresse (...)
Et le plaisir d’une caresse,
Oubliant la faim et la maladie,
Oubliant la dureté de la vie.
(d'après un poème de Silia)
Quand Alba fait du boudoir au balcon.... Patchouli Chinchilla !
S'il te plait.... Dessine moi un mouton
Quand l'homme ne distingue plus le chien du loup...
Cheval sur les prés : rots, hâtives...
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Par Dromantique le 30 Décembre 2014 à 08:16
26 décembre 2014
Haute Maurienne - Eclat de soleil levant sur les cimes enneigées
Au Pas d'Ouiller - Eclat de soleil couchant sur la Baie de Cassis
27 décembre 2014
Plage de Bonnegrâce à Six Fours
Tempête de vent et son cortège de pluie
Cap Nègre et sa Batterie, les îles du Grand Gaou et des Embiez
Le baromètre est en folie... C'est sûr, le coup Brusc arrivera de la direction où est le nuage....
Comment ça, baignade interdite ?
Baie de Sanary, tombée du jour et du moral
Il est temps de hisser les voiles, de fermer les écoutilles, d'attacher les drisses et l'ancre et de virer de bord
28 décembre 2014
Monastère du Carmel à Toulon - accalmie en zone hostie
Retour en Vallée du Rhône
Mirmande - poudrée neigeuse sur les collines
Je l'ai laissé où, le beau temps ?
à Orange, là bas, loin, très loin....
Mais moi je m'en moque, j'ai du soleil plein le coeur
J'ai retrouvé mon foyer et j'ai tout mon temps
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