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CHAMPS de DIAMANTS
Plaine ma plaine
Armand Mestral
Plaine, ma plaine
Plaine, ô mon immense plaine
Où traîne encore le cri des loups
Sur la grande steppe de chez nousPlaine, ma plaine
Dans l'immensité de neige
Entends-tu le pas des chevaux
Entends-tu le bruit de ces galopsPlaine, ma plaine
Entends-tu ces voix lointaines
Les cavaliers qui vers leurs champs reviennent
Sous le ciel chevauchant en chantantLeurs chansons parlent des saisons prochaines
Et de l'onde blonde des moissonsPlaine, ma plaine
Sous l'épais manteau de neigeLa terre enferme dans sa main la graine
Qui fait la récolte de demainOn essayera d'oublier nos peines
Chantons la chanson des cavaliersPlaine, ma plaine
Va-t-en dire aux autres plaines
Que le soleil et les étés reviennent
Pour tous ceux qui savent espérerPlaine, plaine
Vent de la plaine
Tu peux gémir avec les loups
L'espoir est à nous plus fort que toutd'après WIKIPEDIA : Plaine, ma plaine (titre original en russe : Полюшко-поле, translittération : Poljuško-Pole) est un chant soviétique. On prétend qu’il a été écrit pendant la Révolution russe et qu’il était chanté par l'Armée Rouge. En fait, ce chant a été composé en 1934 par Lev Knipper pour les parties chorales de sa quatrième symphonie Poème aux jeunes soldats, les paroles étant de Viktor Goussev. Ce n'est que devant l'enthousiasme déclenché par la partie chorale de la symphonie que le chant en a été dissocié pour former Plaine, ma plaine.
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